mono

by

FRNK

Fonte Mono par Frank Adebiaye,
licence libre SIL Open Font Licence
Specimen réalisé par Eloi Raharinosy,
licence libre CC BY-SA
BTS Design Graphique

Lycée Jacques Prévert, Boulogne-Billancourt, avril 2015

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Avis aux geeks : Je cherche cinq à douze programmeurs web freestyle.

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Je suis d'une telle élégance que quand les caractères unicode me manquent je les remplace par un majestueux *, caractère aussi exquis que le yaourt des fins bovins chassés par Kirikou en Zimbabwe.

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Eh! Je vais vous faire une liste juste pour pouvoir admirer mes signes de ponctuation: homme, banane, Kratos, Queen B, xylophone, zébre, Wu Tang?

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JE SUIS BEAU EN TITRE

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Dans le Nord et l’Est de la France, il existe le mot patois gicque, qui désigne un fou de carnaval ; en Alsace, lors des défilés de carnaval, on porte des shellekapp, gickeleshut ou bien des bonnets de gicque, avec des pointes et des clochettes. Lors des bals du carnaval de Dunkerque, des rondes de gicques sont effectuées. Le gille désigne en France au XVIIIe siècle un individu « niais, nigaud, benêt », du nom de Gilles le Niais, acteur du théâtre de la Foire qui se produisait à Paris dès 16406. Par extension, c'est un ancien personnage de la comédie burlesque, représentant le type du niais ; il est dit « faire le gille », « jouer le gille », etc. Si le gicque peut être plutôt assimilé au nolife, le gille, figure de l'adolescent perdu dans son univers imaginaire (Pierrot de Watteau, anciennement appelé Le Gille, ou Gilles) est plus proche du geek actuel. En Belgique, le gille est un personnage traditionnel du carnaval de Binche.


Au XVIIIe siècle, dans l’Empire austro-hongrois, les cirques ambulants présentaient déjà des gecken, des monstres de foire (personnes avec des déformations, femmes à barbe, etc.). De nombreux arrêtés municipaux interdisaient à ces bateleurs de pénétrer dans les villes avec leurs monstres ou les obligeaient à les faire coucher avec les bêtes dans les granges[réf. souhaitée]. Vers la fin du XIXe siècle, en Amérique du Nord, dans les foires, on a commencé à présenter des geek dans les side-shows, ces expositions annexes aux spectacles de cirque. On y présentait souvent des freaks, c’est-à-dire des monstres de foire, des personnes ayant un handicap étrange ou une déformation physique vraie ou fausse. Dans ce « bestiaire », le geek était souvent une personne handicapée mentale (syndrome de Down) ou bien un artiste de cirque ne pouvant plus participer aux numéros habituels. Il se tenait généralement nu ou vêtu de peaux de bêtes dans une cage, couvert de boue, et rugissait et secouait les barreaux de la cage pour effrayer les visiteurs ayant payé pour le voir. Il était présenté comme le « chaînon manquant », comme l’« homme sauvage » capturé en forêt. Parfois on lui faisait égorger ou décapiter des poulets avec ses dents et le geek devait faire semblant de boire leur sang. Dans sa trilogie romanesque The Deptford Trilogy, l’auteur Robertson Davies décrit sa rencontre avec un artiste de cirque alcoolique forcé à faire le geek dans une cage.

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Il faut différencier le geek du nolife, du nerd, du techie, du Gamer et du technophile. Si nolife et geek sont parfois compatibles, ils ne sont pas pour autant synonymes. Le nolife est celui dont la passion (généralement le jeu vidéo, en particulier le MMORPG) devient une dépendance, puisqu’elle occupe une part démesurée dans sa vie, et va jusqu’à être un frein pour son emploi, sa vie sociale ou ses études. Ce n’est pas forcément le cas du geek. Une autre différence majeure entre les geeks et les nolifes consiste dans le fait que les geeks entretiennent des relations sociales[réf. nécessaire], se retrouvent sur Internet mais aussi dans le monde réel (on parle alors, dans le jargon d'Internet, de rencontre « IRL » pour In Real Life, c'est-à-dire dans la vraie vie). Le nolife, lui, n’entretient pratiquement pas ou plus de relations avec le monde extérieur, et il sacrifiera ses relations sociales pour se livrer à son activité. On peut enfin noter que le geek aura le plus souvent des connaissances plus larges que le nolife, qui (de même que le Gamer) n'aura des connaissances plus pointues que sur sa passion.

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